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Tuesday, March 28, 2006

JIES 2005 article 0

JIES 2005 Science,Communication, Société
Le Title :
La Trilogie de la techno-cratie, techno-democratie et la créativité
des citoyens dans la communauté des savoirs

M.Shingo Hamada (*Doctorant, **Affiliated Fellow)
*Université de Bourgogne CRCMD
**Science Technology Foresight Centre/National Institute of Science Technology Policy
Ministry of Education, Sports, Culture and Science Technology
2-5-1 Marunouchi, Chiyoda-ku, Tokyo Zip 100-0005, JAPAN
E-mail : sh_ub@yahoo.fr

Mots clès : Techno-cratie, Techno-democratie, SCS, Vulgarisation des sciences et technologies, STS, Savoirs dans la communauté, Science & Société de l’UE, ITER, OGM, Technologie Assessment, Conférence des Citoyens.

Résumé : Il s’agit d’une étude préliminaire concernant l’ensemble des conditions des choix technologiques et de la méthodologie de STS, concernant les discours technologiques. Les études ant-evaluatives (benchmark test) vues par la notion de SCS sur les nouvelles technologies telles que ITER, les OGM, IPCC sont élaborés pour approfondir la recherche. Les arguments des choix technologiques, du système de recherche et d’innovation, de la décision politique et participation publique sous la contrainte du développement durable sont présentés.

Abstract :
It treats the preliminary study in together of the decision of technology and the methodology of STS concerning some technological discourse. The studies of ant-evaluation (benchmark test) seen from the SCS on the new technology like ITER and GMO, IPCC are elaborated in order to make further research. The arguments of the technological decision, research and innovation system, the political decision and public participation under the condition of sustainable development are presented.

JIES 2005 article I

1. INTRODUCTION
Au tournant de notre ère glorieuse de l’évolution des sciences et des technologies, les nombreux événements avec dégâts et dommages sur l’environnement ont changé notre épstémé de l’avancement scientifique sur notre humanité.
La hausse de la productivité industrielle basée sur l’énergie fossile a augmenté notre activité humaine explorant dans la dimension environnementale, mais contrasté avec l’augmentation des pollutions de l’air, du sol et de l’eau. Le trou d’ozone, l’echauffement planétaire et l’effet de serre étant engendré par l’activité humaine, nous conditionne de vivre dans une nouvelle ère, forcemment d’élaborer de nous adapter pour vivre le changment du climat. (l’augmentation de la température causée par l’effet de serre nous enseignent que nous vivons dans une nouvelle ère, qu’on n’a jamais eu, du élaboration de s’adepter à vivre dans le changement de climat.)
L’explosion démographique du dernier siècle nous entraine à nous inquiêter pour la nourriture pour tout le monde, qui est en effet une raison d’inventer la technique agricole et la nouvelle technologie génétique pour l’alimentation, l’OGM (Organismes Génétiquement Modifiés) est tel cas. L’augmentation explosive de la démographie du monde entier a montré que nous n’avons pas de nourriture pour tout le monde et que les pays industriellement avancés ont du exploiter les alimentations issues des OGM (Organismes Génétiquement Modifiés). L’avancement des sciences ne sait pas cesser d’exploiter la nature de manière que la biotechnologie permets aux expertises d’analyser et modifier la nature de l’ADN, en fin, sur cette base, de créer les entités biologiques qui n’existe pas dans la nautre, c’est la raison de soucis de la part des non-expertises et des citoyens. (L’avancement scientifique et technologique ne sait pas cesser de manière que la biotechnologie nous permette de modifier l’ADN et sur cette base de fabriquer les entités biologiques artificiellement). D’autre part, la technique médicale du génie genomics est parvenue aux patients de la maladie génétique, avec la nouvelle évangile de la thérapie sur le plan diagnostique de detecter les mauvaises séquences de l’ADN pour la fécondation, dont les thérapeutes s’occupent d’éliminer ces mauvais dons auparavant. C’est sur le point où les certains critiques se préoccupent de l’émergence de nouvelle eugénics dans notre ère. (La technique médicale du génie moléculaire est également parvenue aux patients avec la nouvelle évangile de la thérapie génétique, sur le plan de la prognose, de la diagnose et de la fécondation.)
Le fameux projet « Manhattan » a délivré la technologie atomique et nucléaire, issues de la recherche physique atomique en grande échelle, duquel l’humanité a su sa bénéfice pour la source de l’énergie sur les victimes d’irradiation radioactive. Les accidents et les affaires dans plusiers pays sont apaisés de suite par le moyen gouvernemental, mais le confilit sociale entre le systeme de l’expoitation et les citoyens ne se résout jamais. C’est ainsi la rasion, pour laquelle la société, sauf le corps gouvernemental, n’attribue pas la crédibilité au grand système de l’expoitation, justement à côté de la question des citoyens « Pourquoi l’Etat continue d’invesitr dans tel monsteux système de recherche ? » (à laquelle toutes les humanités ont su les innombrables victimes y compris ceux d’accident nucléaire). La société moderne ne cesse pas de dépendre plus en plus de l’exploitation nucléaire, voire la future génération de réacteur ITER (International Thermalnuclear Experimental Reactor), tandis que l’argument de l’énergie renouvelable est fortement prononcé en faveur du développement durable, ce qui est l’enjeu de notre civilisation.
Toutes ces questions comportent à l’intérieur de leurs discours, un aspect discursif et dialectique concernant l’utilisation de la technologie. Même si la réponse à la question de choix technologique est simple binaire, pour dire oui ou non, on pense à la technique en reliant les facteurs sociaux, l’impacte socio-économique du choix de technologie sur les utilisateurs, les consommateurs, les producteurs et les fabriqueurs (l’ensemble de steakholders), bien évidement avec une intérrogation ; qui jouent son rôle majeur et secondaire dans la dimension sociale ? – Est-ce le centrifuge politique ou l’ouverture de service poblique ? – Cet aspect sociologique accompagne la pensée et l’interprétation sur le contexte, comment s’adapte la technolgie à la question stratégique de la société. L’appuie de cette question n’est pas toujours le même poids sur tous les individues, c’est à cause de cela que la décision publique nécessite l’assessment de technologie. (Si la réponse est binaire, pour tout le monde de dire simplement oui ou non, l’histoire de l’humanité ne se complique pas autant. Ce qui est grave de la nature de ces questions, c’est que la question de choix de technologie accompagne le contexte social, comment s’adapter la technologie à la question stratégique de la société, comment et qui vivre mieux). C’est une fameuse énoncé que l’universalité L’humanité a une fois su un énoncé unversel de progrès des sciences, ce qui veut dire que la science est globalement favorable pour la dignité humaine, mais l’adaptation contextuelle de la technologie (et aussi de la science) dans la société est hautement stratégique, parfois divisible, séparationiste, et hautement discursive. C’est la nature de discours de STS (Science, Technology et Société), et c’est à cause de la conjonction de la scientificité et de l’humanité.

JIES 2005 article II

2. L’ETUDE DES CONCEPTIONS
L’étude de STS n’a pas de rôle à jouer de développer telle et telle technologie, mais elle sert à intervenir dans la discussion discursive et dialectique concernnant le choix de technologie, et essayer d’expliquer comment et pourquoi telle décision est prise pour telle technologie, ainsi que d’aider aux participants voir clairement les parcours de débat et aboutir à la décision du choix de technologie.
Pour aborder cette étude, je pose l’hypothèse suivante : Vers la société de savoirs, la communauté mondiale nécessite d'être englobée par le réseau des citoyens qui sont devenus plus en plus puissants dans les savoirs de science et de technologie. Mais ils n’atteint pas encore la maturité pour maitrîser la procédure autonome de la décision politique et le choix de technologie. (Mais l'apport de cette puissance ne permet pas encore de maîtriser la procédure autonome de la décision concernant le choix de technologie.)
Dans l'histoire de l'humanité, la culture humaniste cherche toujours l'harmonie entre l'opposition de technocratie et de la techno-démocratie, mais la civilisation ne le permet pas toujours. Pourquoi existe-il cette trilogie ainsi sous une forme plus ancienne, celle du mythe de l'harmonie entre la nature et l'être humain ? Peut-on encore rechercher la forme plus sophistiqué et plus complète pour perfectionner l’harmonie digne de l’humanité (la forme plus fine et complète quel que soit exister pour perfectionnner la digne de l'humanité), ou doit-on limiter l'image de ce mythe de façon assez moderne de notre rationalité d'interpréter la science et technologie ?
Pour examiner cette hypothèse, je propose d’observer rationellement sur les trois axes des acteurs – d’après la notion de steakholder – l’un dans la phase de la techno-cratie qui ont le pouvoir et le savoir de décider la politique de recherche, l’ature dans la phase de techno-démocratie qui joue un rôle de médiateur aux plusieurs étapes de la décision politique. Les citoyens se trouvent dans la troisième phase où ils se manifeste parfois opposées à prmière et deuxième phase avec la créativité non expertisée et non explicite mais avec certaine rationalité qui touche à la gravité de la question intriguée. (à reformuler ) J’essaye d’observer assez rationnellement sur les trois axes des acteurs, l’un dans la techo-cratie qui décide la politique de recherche, l’autre dans la techno-démocratie qui jouent un rôle de médiateur pour la décision politique, et la créativité de nos citoyens pour essayer de dire oui ou non dans la question ainsi intriguée. Je pense que ces observations pourront nous rapporter une référence plus convaincante pour évaluer préalablement des cas spécifiques. Pour cette démarche, nous allons explorer l’histoire de ITER et de OGM.
Les affaires d’ITER et des OGM sont connues par leur retentissement dans le débat national et international. Le programme ITER a été une fois prononcé par deux chefs d’Etat, Ronald Reagan le président des Etats-Unis et Mihaelle Gorbachev de l’ex-union soviétique, ayant représenté l’éclat du monde de la guerre froide à l’époque, mais qui exprimaient l’espoir d’établir une collaboration pour but de fournir l’énergie de la fusion nucléaire, de la manière métaphorique, de créer l’autre soleil sur notre planète.
En 1985, les Etats-Unis, l’ex Union soviétique, l’Union européenne et le Japon ont conclu cet accord de collaboration. Les études sur le mécanisme des plasmas et de la fusion nucléaire ont été déjà élaboré dans plusieurs pays, et suivant le développement technologique la communauté scientifique concernée à l’ITER a lancé la compétition pour décider l’implantation géographique et administrative du site de laboratoire. Cette compétion a en fait eu un parcours en méandres, mais elle a fini par connaître la rivalité entre la France et le Japon durant les années 1990 et jusqu’à 2005.
Ce progarmme a vécu en effet vingt ans de parcours ; une fois de la concurrence internationale purement technologique parmi les savants et les chercheurs (phase de techno-cratie), autre fois de la négociation politico-diplomatique sous l’influence de la puissance super-étatique, pourtant qui n’avait pas su conduire ce projet à la vraie procédure de sa réalisation (phase de techno-cratie modifiée). (une fois de la négociation purement scientifique et technologique des savants et des chercheurs et politico-diplomatique et l’autre fois de la contingence politico-diplomatique internationale) (phase de techno-cratie). Le fort débat s’incarne dans chacun des pays concernés par la compétition, entre les expertises, le gouvernement, et les contribuant des impôts. Pourtant le débat ne solicitait pas la créativité des citoyens pour l’investissment économique, et les agents étatiques interviennent dans la prolifération de la compréhension par les citoyens, c’est la caractéristique de ce débat (la phase de techno-démocratie).
L’affaire des OGM est entrée dans le débat controversé des années 1990, issues de la décision de l’OMC concernant la brevetabilité et la commercialisation du vivant et de la technologie de la modification génétique. La Commission européenne a adopté la loi pour mettre en effet cette convention sur le marché européen, mais ils ont u toute la vitesse la protestation globale sous plusieurs formes, conférence des citoyens, science-workshops, manifestation dans les rues, de la part des citoyens, paysans, les agriculteurs, les consommateurs, les chercheurs et les politiquement concernés.
Les forts débats sur les OGM ont forcé tous les acteurs de l’affaire à se battre pour prendre la décision politique de cette technologie. Notamment, les corps étatiques ainsi que les groupements des citoyens ONG ont organisé la mise en examen de cette technologie (phase de créativité des citoyens), soit pour détecter les défauts scientifiques soit pour éliminer le risque technologique.
Les nombreux programmes de Technological assessment ont été lancés par l’OPECST en France, le POST en Grand Bretagne, le STOA et le EPTA au Parlement Européen (phase de techno-démocratie).
Sur la premier phase de bataille par les citoyens, ils ont inventé une fameuse régulation de « Principe de Précaution » face à la commercialisation des OGM sur le marché, même sur le processus de l’innovation technologique. La conséquence, ils se semble à savoir le repose de combat.
Selon la notion de steakholders, je propose un grille d’analyse d’entre plusieurs évenements indiquant les faits et les facteurs (voir le grille 1). Ici, je pose le grille des faits sur ces deux affaires (voir figure 1).
Sûrement, la communication est échangée entre les plusieurs steak-holders, les corps étatiques, l’établissement public de la recherche, l’agent public et privé de l’intervention de la communication, les majeurs et mineurs contribuants de ressources (grosses entreprises de technologie et les contribuables, etc). Je propose ici de voir ces steak-holders dans la dimension de collectivité à l’echelle individuelle, locale-regionale-publique et internationale. Les fonctionnements de ces steak-holders sont aussi variés, à l’échelle de la centrifuge politique, l’assessement et l’évaluation neutre (scientifique et technologique), mais aussi au degré de l’ouverture publique du service. Les critères de ces évaluations ne sont pas toujours clairs, rien de la mesure quantitative, mais ils doivent montrer la différence de l’un à l’autre.
Sur la schèma 2, figure 2, je pose les axes de la dimension de collectivité et du service politico-social, et j’essaye de voir les steak-holders regroupés chacun sur leur position. Cette méthode n’est qu’une approche hypothético-réductive sans les valeurs mathématiques réels. Je propose de saisir la proportion entre le volume et la position des couches et les orientations de la flêche dans ces dimmensions respectivement opposée, avec la notion de « social trust » qui sont indiqués sur trois espaces des acteurs. (Je guide les yeux avec la notion de « social trust » sur trois espaces des acteurs).
Parmi ces groupes, l’UE et la commité de l’ITER se touve à haute collectivité internationale, dans l’orientation de la centrifuge politique, qui pourront être identifiés pour la phase de techno-cratie. L’un se trouve à haute colléctivité internationale et centrifuge politique, par exemple l’UE, la commité de l’ITER, qui sont la phase de techno-cratie.
L’autre se place au milieu, la collectivité et l’ouverture sociale en moyenne grandeur est indiquée, qui pourront être identifié pour les institutions de recherche et le corps de l’assessment technologique, souvent attribués du budge étatique, qui sont la phase de techno-démocratie. les moyens collectivité et ouverture social, les institutions de la recherche, le corps de l’assessment technologique, qui sont la phase de techno-démocratie. La troisième groupe se trouve à la collectivité (Le dernier correspond à haute collectivité) locale et ouverture sociale, les individus et groupements universitaires, des citoyens et des concernés de l’industrie agricole (agriculturelles) etc, qui sont la phase de créativité des citoyens.
Dans ce schéma je donne a priori les figures par une flèche qui désigne l’orientation et l’intérêt de la communication. La communication de l’ITER exploire (s’expédie) de la phase technocratique et elle s’oriente à la couche sociale de décision, qui sont la phase de techno-démocratie. La communication d’OGM s’oriente de la phase des citoyens vers la couche des savants et des décideurs. Ici, l’ante-évaluation de ce trafic consiste à mesurer toutes les communications par les critères figurés dans le schéma. Dans cette étude, il est encore insuffisant de montrer quantativement le trafic des communications. Mais les caractères de discours respectives à ITER et OGM sont conçus intuitivement, donc en général les labels sont marqué par le publique. Ils sont aussi souvent mentionées comme tels avec les références même des expertises.
(Pourvu que cette étude n’attende que la démarche de la recherche, il est immaturé de montrer les chiffres de trafic de communication, mais la nature de communication de l’ITER et de l’OGM est supporté à priori par l’observation intuitive).
(Le texte ci-dessous supplimé)
(Pourtant dans ce shéma, j’ai posé le rôle du marché techno-économique qui se communique à trois phases pour stimmuler l’innovation ou inhiber l’obstacle de l’innovation).
Par cette schématisation, le rôle et le fonctionnement de deux phases techno-cratie et techno-démocratie sont assez claires, mais où est la créativité des citoyens ?
Par contingence de la communication discursive et argumentative, je pose mon hypothèse que la troisième phase correspond à la vulgarisation des sciences. Dans le schèma 3, je propose les routes hypothétiques de la communication entre les plusieurs couches des intérêts. Sur l’axe verticlae s’oppose l’orientation de la production et de la consommation des savoirs, et sur l’axe horizontale se trouve la zone de expertise et non-expertise. Cette hypothèse sert à analyser le trafic de discours avec l’aide de la modélisation de la communication en vue d’enrichir la vulgarisation des scienses. (Sur le figure 3, je montre le shéma hypothétique de l’appuie sur la nécessité d’intensifier la communication de vulgarisation des science en plusieurs sortes). Les couches des savoirs et des décisions ne sont pas les mêmes que le figure 2. En effet, j’ai besoin d’identifier les quatre couches, communication scientifique, technologique, épistémique, et de la vie quotidienne.

JIES 2005 article III

1. CONCLUSION
J’ai montré le grille de l’histoire de l’ITER et de l’OGM. Suivant le détail de ces histoires, j’ai shématisé la phase de techno-cratie, techno-démocratie et la créativité des citoyens avec le critère de colléctivité locale et internationale ainsi que de la centrifuge politique et l’ouverture sociale. J’ai introduit la démarche de cette recherche pour évaluer ces phases de communication pour mieux proliférer la puissance de vulgarisation des sciences.
Dans l’étape de l’approfondissement de cette recherche, je propose d’aller étudier plus en détails des dossiers historiques de l’ITER et de l’OGM, notamment l’histoire du système de recherche EURATOM et de l’invention des manipulations génétiques en biotechnologie. L’investigation de point de vue pédagogique sur la structure d’apprentissage et d’enseignement auprès des décideurs, le corps parlementaire OPECST, ou la Science et Société auprès de Directorat Général de Recherche et Innovation de l’Union Européenne sont capable de poursuivre.

Cette étude est inspirée de l’analyse de communication et elle adresse aussi à l’étude de la vulgarisation (Cette étude s’adresse d’une part à la vulgarisation des) des sciences et des techniques dans la sphère francophone, notamment au programme doctorale de l’Université de Bougogne CRCMD avec le partenariat de COMUNDUS.

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