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Tuesday, March 28, 2006

JIES 2005 article II

2. L’ETUDE DES CONCEPTIONS
L’étude de STS n’a pas de rôle à jouer de développer telle et telle technologie, mais elle sert à intervenir dans la discussion discursive et dialectique concernnant le choix de technologie, et essayer d’expliquer comment et pourquoi telle décision est prise pour telle technologie, ainsi que d’aider aux participants voir clairement les parcours de débat et aboutir à la décision du choix de technologie.
Pour aborder cette étude, je pose l’hypothèse suivante : Vers la société de savoirs, la communauté mondiale nécessite d'être englobée par le réseau des citoyens qui sont devenus plus en plus puissants dans les savoirs de science et de technologie. Mais ils n’atteint pas encore la maturité pour maitrîser la procédure autonome de la décision politique et le choix de technologie. (Mais l'apport de cette puissance ne permet pas encore de maîtriser la procédure autonome de la décision concernant le choix de technologie.)
Dans l'histoire de l'humanité, la culture humaniste cherche toujours l'harmonie entre l'opposition de technocratie et de la techno-démocratie, mais la civilisation ne le permet pas toujours. Pourquoi existe-il cette trilogie ainsi sous une forme plus ancienne, celle du mythe de l'harmonie entre la nature et l'être humain ? Peut-on encore rechercher la forme plus sophistiqué et plus complète pour perfectionner l’harmonie digne de l’humanité (la forme plus fine et complète quel que soit exister pour perfectionnner la digne de l'humanité), ou doit-on limiter l'image de ce mythe de façon assez moderne de notre rationalité d'interpréter la science et technologie ?
Pour examiner cette hypothèse, je propose d’observer rationellement sur les trois axes des acteurs – d’après la notion de steakholder – l’un dans la phase de la techno-cratie qui ont le pouvoir et le savoir de décider la politique de recherche, l’ature dans la phase de techno-démocratie qui joue un rôle de médiateur aux plusieurs étapes de la décision politique. Les citoyens se trouvent dans la troisième phase où ils se manifeste parfois opposées à prmière et deuxième phase avec la créativité non expertisée et non explicite mais avec certaine rationalité qui touche à la gravité de la question intriguée. (à reformuler ) J’essaye d’observer assez rationnellement sur les trois axes des acteurs, l’un dans la techo-cratie qui décide la politique de recherche, l’autre dans la techno-démocratie qui jouent un rôle de médiateur pour la décision politique, et la créativité de nos citoyens pour essayer de dire oui ou non dans la question ainsi intriguée. Je pense que ces observations pourront nous rapporter une référence plus convaincante pour évaluer préalablement des cas spécifiques. Pour cette démarche, nous allons explorer l’histoire de ITER et de OGM.
Les affaires d’ITER et des OGM sont connues par leur retentissement dans le débat national et international. Le programme ITER a été une fois prononcé par deux chefs d’Etat, Ronald Reagan le président des Etats-Unis et Mihaelle Gorbachev de l’ex-union soviétique, ayant représenté l’éclat du monde de la guerre froide à l’époque, mais qui exprimaient l’espoir d’établir une collaboration pour but de fournir l’énergie de la fusion nucléaire, de la manière métaphorique, de créer l’autre soleil sur notre planète.
En 1985, les Etats-Unis, l’ex Union soviétique, l’Union européenne et le Japon ont conclu cet accord de collaboration. Les études sur le mécanisme des plasmas et de la fusion nucléaire ont été déjà élaboré dans plusieurs pays, et suivant le développement technologique la communauté scientifique concernée à l’ITER a lancé la compétition pour décider l’implantation géographique et administrative du site de laboratoire. Cette compétion a en fait eu un parcours en méandres, mais elle a fini par connaître la rivalité entre la France et le Japon durant les années 1990 et jusqu’à 2005.
Ce progarmme a vécu en effet vingt ans de parcours ; une fois de la concurrence internationale purement technologique parmi les savants et les chercheurs (phase de techno-cratie), autre fois de la négociation politico-diplomatique sous l’influence de la puissance super-étatique, pourtant qui n’avait pas su conduire ce projet à la vraie procédure de sa réalisation (phase de techno-cratie modifiée). (une fois de la négociation purement scientifique et technologique des savants et des chercheurs et politico-diplomatique et l’autre fois de la contingence politico-diplomatique internationale) (phase de techno-cratie). Le fort débat s’incarne dans chacun des pays concernés par la compétition, entre les expertises, le gouvernement, et les contribuant des impôts. Pourtant le débat ne solicitait pas la créativité des citoyens pour l’investissment économique, et les agents étatiques interviennent dans la prolifération de la compréhension par les citoyens, c’est la caractéristique de ce débat (la phase de techno-démocratie).
L’affaire des OGM est entrée dans le débat controversé des années 1990, issues de la décision de l’OMC concernant la brevetabilité et la commercialisation du vivant et de la technologie de la modification génétique. La Commission européenne a adopté la loi pour mettre en effet cette convention sur le marché européen, mais ils ont u toute la vitesse la protestation globale sous plusieurs formes, conférence des citoyens, science-workshops, manifestation dans les rues, de la part des citoyens, paysans, les agriculteurs, les consommateurs, les chercheurs et les politiquement concernés.
Les forts débats sur les OGM ont forcé tous les acteurs de l’affaire à se battre pour prendre la décision politique de cette technologie. Notamment, les corps étatiques ainsi que les groupements des citoyens ONG ont organisé la mise en examen de cette technologie (phase de créativité des citoyens), soit pour détecter les défauts scientifiques soit pour éliminer le risque technologique.
Les nombreux programmes de Technological assessment ont été lancés par l’OPECST en France, le POST en Grand Bretagne, le STOA et le EPTA au Parlement Européen (phase de techno-démocratie).
Sur la premier phase de bataille par les citoyens, ils ont inventé une fameuse régulation de « Principe de Précaution » face à la commercialisation des OGM sur le marché, même sur le processus de l’innovation technologique. La conséquence, ils se semble à savoir le repose de combat.
Selon la notion de steakholders, je propose un grille d’analyse d’entre plusieurs évenements indiquant les faits et les facteurs (voir le grille 1). Ici, je pose le grille des faits sur ces deux affaires (voir figure 1).
Sûrement, la communication est échangée entre les plusieurs steak-holders, les corps étatiques, l’établissement public de la recherche, l’agent public et privé de l’intervention de la communication, les majeurs et mineurs contribuants de ressources (grosses entreprises de technologie et les contribuables, etc). Je propose ici de voir ces steak-holders dans la dimension de collectivité à l’echelle individuelle, locale-regionale-publique et internationale. Les fonctionnements de ces steak-holders sont aussi variés, à l’échelle de la centrifuge politique, l’assessement et l’évaluation neutre (scientifique et technologique), mais aussi au degré de l’ouverture publique du service. Les critères de ces évaluations ne sont pas toujours clairs, rien de la mesure quantitative, mais ils doivent montrer la différence de l’un à l’autre.
Sur la schèma 2, figure 2, je pose les axes de la dimension de collectivité et du service politico-social, et j’essaye de voir les steak-holders regroupés chacun sur leur position. Cette méthode n’est qu’une approche hypothético-réductive sans les valeurs mathématiques réels. Je propose de saisir la proportion entre le volume et la position des couches et les orientations de la flêche dans ces dimmensions respectivement opposée, avec la notion de « social trust » qui sont indiqués sur trois espaces des acteurs. (Je guide les yeux avec la notion de « social trust » sur trois espaces des acteurs).
Parmi ces groupes, l’UE et la commité de l’ITER se touve à haute collectivité internationale, dans l’orientation de la centrifuge politique, qui pourront être identifiés pour la phase de techno-cratie. L’un se trouve à haute colléctivité internationale et centrifuge politique, par exemple l’UE, la commité de l’ITER, qui sont la phase de techno-cratie.
L’autre se place au milieu, la collectivité et l’ouverture sociale en moyenne grandeur est indiquée, qui pourront être identifié pour les institutions de recherche et le corps de l’assessment technologique, souvent attribués du budge étatique, qui sont la phase de techno-démocratie. les moyens collectivité et ouverture social, les institutions de la recherche, le corps de l’assessment technologique, qui sont la phase de techno-démocratie. La troisième groupe se trouve à la collectivité (Le dernier correspond à haute collectivité) locale et ouverture sociale, les individus et groupements universitaires, des citoyens et des concernés de l’industrie agricole (agriculturelles) etc, qui sont la phase de créativité des citoyens.
Dans ce schéma je donne a priori les figures par une flèche qui désigne l’orientation et l’intérêt de la communication. La communication de l’ITER exploire (s’expédie) de la phase technocratique et elle s’oriente à la couche sociale de décision, qui sont la phase de techno-démocratie. La communication d’OGM s’oriente de la phase des citoyens vers la couche des savants et des décideurs. Ici, l’ante-évaluation de ce trafic consiste à mesurer toutes les communications par les critères figurés dans le schéma. Dans cette étude, il est encore insuffisant de montrer quantativement le trafic des communications. Mais les caractères de discours respectives à ITER et OGM sont conçus intuitivement, donc en général les labels sont marqué par le publique. Ils sont aussi souvent mentionées comme tels avec les références même des expertises.
(Pourvu que cette étude n’attende que la démarche de la recherche, il est immaturé de montrer les chiffres de trafic de communication, mais la nature de communication de l’ITER et de l’OGM est supporté à priori par l’observation intuitive).
(Le texte ci-dessous supplimé)
(Pourtant dans ce shéma, j’ai posé le rôle du marché techno-économique qui se communique à trois phases pour stimmuler l’innovation ou inhiber l’obstacle de l’innovation).
Par cette schématisation, le rôle et le fonctionnement de deux phases techno-cratie et techno-démocratie sont assez claires, mais où est la créativité des citoyens ?
Par contingence de la communication discursive et argumentative, je pose mon hypothèse que la troisième phase correspond à la vulgarisation des sciences. Dans le schèma 3, je propose les routes hypothétiques de la communication entre les plusieurs couches des intérêts. Sur l’axe verticlae s’oppose l’orientation de la production et de la consommation des savoirs, et sur l’axe horizontale se trouve la zone de expertise et non-expertise. Cette hypothèse sert à analyser le trafic de discours avec l’aide de la modélisation de la communication en vue d’enrichir la vulgarisation des scienses. (Sur le figure 3, je montre le shéma hypothétique de l’appuie sur la nécessité d’intensifier la communication de vulgarisation des science en plusieurs sortes). Les couches des savoirs et des décisions ne sont pas les mêmes que le figure 2. En effet, j’ai besoin d’identifier les quatre couches, communication scientifique, technologique, épistémique, et de la vie quotidienne.

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